La nouvelle du Terra Sancta Museum dans les quotidiens italiens

Giacomo Pizzi22 mars 2013

“Un projet ambitieux, celui de “raconter l’histoire du Christianisme dès ses origines”. Il sera prêt en 2015, mais les travaux de réalisation ont déjà commencé depuis longtemps. Avec l’ouverture au public d’un complexe muséal moderne – le seul jusqu’à présent dans toute la Dieu – les Franciscains de la Custodie entendent valoriser le patrimoine artistique, archéologique et culturel conservé durant les huit derniers siècles sur ces terres”. C’est ce qu’on lit le 21 mars dans le quotidien Avvenire. Une grande espace est consacrée à l’ouverture du Terra Sancta Museum à Jérusalem.

“On parle d’un patrimoine énorme – l’article d’Avvenire continue – pièces très anciennes enfermées depuis des années dans les magasins de la Custodie à Jérusalem. On peut se perdre dans les presque 80.000 pièces, 2000 lampes à huile, 12.000 objets divers, des cadeaux que les rois chrétiens partout dans le monde ont donné aux frères franciscains en signe de gratitude. “Toutes ces choses seront présentées au public pas seulement pour en exalter la valeur matérielle – ajoute père Eugenio Alliata (directeur du Museé Archéologique du Studium Biblicum Franciscanum et de la Commission Scientifique du nouveau Terra Sancta Museum, ndr) – mais aussi comme témoignage du support de tout le monde vers les lieux saints et la terre qui a vu naître le Christianisme” (Andrea Avveduto, Avvenire, 21 mars).

Le quotidien italien Corriere della Sera aussi a consacré une page entière de son supplément “La Lettura” au Terra Sancta Museum, dimanche 11 mars, en soulignant aussi l’Exposition qui aura lieu à Paris à partir du 16 avril, où beaucoup de pièces provenant de la Custodie de Terre Sainte seront exposées et placés dans le nouveau Musée à Jérusalem :

“A la suite de quatre années de négociations et préparatifs intenses, Paris a réservé une avant-première plutôt complète avec l’exposition Le Trésor du Saint-Sépulcre qui sera ouverte à partir du 16 avril (jusqu’au 14 juillet) au Château de Versailles et à la Maison de Chateaubriand. On exposera des pièces d’orfèvrerie étonnantes et des vêtements sacerdotales (chapes et chasubles qui forment l’habillement ecclésiastique) jamais exposés avant, mais aussi des meubles sacrés utilisés au Saint-Sépulcre aujourd’hui comme il y a quatre ou cinq siècles. Deux cent pièces presque tous provenant de la Custodie de Terre Sainte, à l’exception de qualques pièces mises à disposition par le musée du Louvre et par le Vatican.” (Elisabetta Rosaspina, La Lettura, Corriere della Sera).

Ci-joint il est possible de lire les deux articles en italien.