Ici aussi, la Custodie est présente au travers de la Terra Sancta School et du Père Quirico Calella. C’est à lui que l’on doit l’arrivée de Giotto à Akko. Depuis quelques années, la Custodie de Terre Sainte gère la splendide reproduction de la Chapelle des Scrovegni, une reproduction photographique à l’échelle 1 :4 du cycle de fresques réalisé par le maitre toscan entre 1303 et 1305 à la demande d’Henri degli Scrovegni. Sur les murs de la Chapelle, se succèdent les événements de la vie de Marie et de Jésus alors que sur la contre-façade, Giotto a représenté le Jugement dernier.
Conçue et réalisée par Giorgio Deganello, mise au point par Itaca, l’exposition - promouvé par ATS pro Terra Sancta - a été donnée à la Custodie par la Ville de Padoue et – après avoir été exposée à Jérusalem, Tel Aviv et Jaffa – est finalement arrivée à Akko où elle a été présentée le mercredi 11 mai par Mme Rivka Tamara Sevy, experte en restauration – en présence du Président de l’Institut italien de Culture d’Haifa - Giovanni Pillonca – du Maire-adjoint de la ville (et ancien élève de l’école de la Custodie sise à Akko) - Adham Jamal – et du Père Quirico Calella.
La reproduction de la Chapelle de Padoue est hôte de la Citadelle d’origine croisée dans la complexe qui était par un temps le siège des Chevaliers de l’Ordre de Saint Jean. Au cours de ces mêmes années, pendant lesquelles Akko, florissante, constituait un point de rassemblement pour de nombreux pèlerins, Giotto réalisait les fresques commandées par Henri degli Scrovegni en se basant notamment sur les récits de personnes s’étant rendus dans les Lieux Saints afin de réaliser un fonds approprié aux événements racontés par son œuvre. Giotto est immergé dans un contexte qui lui appartient, comme l’était depuis longtemps déjà à l’époque du chef-d’œuvre de Padoue, le rapport qui unissait l’artiste aux franciscains pour lesquels il avait réalisé les fresques de la Basilique d’Assise et celle de Saint Antoine, cette fois encore à Padoue.
L’exposition, dont le montage a été réalisé par un certain nombre de bénévoles travaillant près la Custodie, pourra être visitée jusqu’au 20 juin.
Giotto à Akko. La Chapelle des Scrovegni en exposition dans la Citadelle croisée
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Giotto à Akko. La Chapelle des Scrovegni en exposition dans la Citadelle croisée
Ici aussi, la Custodie est présente au travers de la Terra Sancta School et du Père Quirico Calella. C’est à lui que l’on doit l’arrivée de Giotto à Akko. Depuis quelques années, la Custodie de Terre Sainte gère la splendide reproduction de la Chapelle des Scrovegni, une reproduction photographique à l’échelle 1 :4 du cycle de fresques réalisé par le maitre toscan entre 1303 et 1305 à la demande d’Henri degli Scrovegni. Sur les murs de la Chapelle, se succèdent les événements de la vie de Marie et de Jésus alors que sur la contre-façade, Giotto a représenté le Jugement dernier.
Conçue et réalisée par Giorgio Deganello, mise au point par Itaca, l’exposition - promouvé par ATS pro Terra Sancta - a été donnée à la Custodie par la Ville de Padoue et – après avoir été exposée à Jérusalem, Tel Aviv et Jaffa – est finalement arrivée à Akko où elle a été présentée le mercredi 11 mai par Mme Rivka Tamara Sevy, experte en restauration – en présence du Président de l’Institut italien de Culture d’Haifa - Giovanni Pillonca – du Maire-adjoint de la ville (et ancien élève de l’école de la Custodie sise à Akko) - Adham Jamal – et du Père Quirico Calella.
La reproduction de la Chapelle de Padoue est hôte de la Citadelle d’origine croisée dans la complexe qui était par un temps le siège des Chevaliers de l’Ordre de Saint Jean. Au cours de ces mêmes années, pendant lesquelles Akko, florissante, constituait un point de rassemblement pour de nombreux pèlerins, Giotto réalisait les fresques commandées par Henri degli Scrovegni en se basant notamment sur les récits de personnes s’étant rendus dans les Lieux Saints afin de réaliser un fonds approprié aux événements racontés par son œuvre. Giotto est immergé dans un contexte qui lui appartient, comme l’était depuis longtemps déjà à l’époque du chef-d’œuvre de Padoue, le rapport qui unissait l’artiste aux franciscains pour lesquels il avait réalisé les fresques de la Basilique d’Assise et celle de Saint Antoine, cette fois encore à Padoue.
L’exposition, dont le montage a été réalisé par un certain nombre de bénévoles travaillant près la Custodie, pourra être visitée jusqu’au 20 juin.

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