Nourrir l’affamé, abreuver l’assoiffé: l’expérience du Charity Work Program en Bethléem

Giacomo Pizzi13 août 2015

Quand Claudia est partie pour la Terre Sainte, elle a choisi de ne pas mettre en sa valise les préjudices ou les attentes, mais seulement le désire d’être étonnée. Et «être étonné» est un des mots clés de l’expérience que trois jeunes filles, Claudia Sara et Viviana, ont vécu en Bethléem du 18 Juillet au 8 Août grâce au Charity Work Program, une occasion de volontariat organisée par l’Università del Sacro Cuore de Milan. Le CharityWork Program a le but d’encourager les activités de coopération internationale en pays en développement dans tout le monde et cette année, pour la première fois, a été accompli en Terre Sainte aussi.

Les filles ont accompli pour des services très simple parce que, comme Sara dit «nous ne pouvons pas être indispensable, mais au contrarie, il est important qu’ici les gens réussissent avec ses propres forces.» Se retrousser les manches pour atténuer la fatigue d’une enseignante d’école maternelle ou d’une sœur cuisinière pour les personnes âgées d’une maison de retraite: c’est très simple, mais ça répond aux besoins réels des personnes.

Voici un autre mot clé, rencontre: une surprise pour les filles qui s’attendaient à trois semaines de travaille acharné. Au contraire, le volontariat, les voyages er les rencontres se sont entrelacés souvent. «Nous avons visité Nablus et Sabastiya, un coin de Palestine où nous avons enroule des savons fait à la main et, sous le regard des filles du Nisf Jubeil Ceramic Center, nous avons peint des petites céramiques. Nous avons visité Hebron,» continuent les filles, «où la cohabitation entre Colons Israéliens et résidents Palestiniens est très difficile; nous avons découvert Jérusalem avec son dédale de routes et son extraordinaire melting pot de cultures et religions, et puis nous avons déjeuné à la tente des bédouins dans le désert et admiré le panorama de la mer Morte.»

Viviana, étudiante de Science Politiques, avait une valise pleine de connaissances qui se sont enfin concrétisées. «Cela a été une chance, elle raconte, pour donner un sens profond a ce que je étudieà l’Université et pour lire d’un œil critique les racontes des personnes que nous avons rencontré en ces trois semaines

Entre les rencontres les plus importants, il y a celui avec Badil, un centre de recherche pour la résidence Palestinienne et les droits des refugiées, qui a raconté avec clarté l’histoire récente de la Palestine; avec sœur Lucia, depuis dis ans en service au Caritas Baby Hospital, et son son témoignage de vie et de fée; les sœurs de La Crèche, un orphelinat qui a touché les cœurs des filles. «La chose la plus belle de Bethlehem, ajoute Sara, est que, malgré le fait que nous sommes ici pour peu de temps, il se passe que pendant une promenade l’on rencontre les nouveaux amis et ceci rend nos voyage une expérience marquée des personnes et leurs histoires

Terminés les bagages, avant de rentrer, entre les souvenirs pour la famille et les amis, les filles amènent le désire de continuer l’expérience, d’une manière ou d’une autre. Une expérience donc, qui ne termine pas avec le voyage de retour.